JJNAPO l’assure, ce doit être une vérité fondamentale constatée sur le terrain par cet habitué des mornes plaines couvertes d’uniformes.
Au cours des guerres napoléoniennes, l’artillerie russe a beaucoup évoluée tant dans ses uniformes que dans sa structuration. Elle est passée de 11 régiments à pied et 2 bataillons à cheval en 1805 à 28 brigades soit une par division en 1813 (sans parler de la réserve de 22 compagnies lourdes et 11 légères qui existent à la même époque ). L’artillerie russe repose sur 3 catégories de pièces, les très lourdes (calibre 12 et 8) les lourdes (20 et 10 livres licorne ) et les légères (calibre 6). Trois types de batteries également : les batteries de position, les légères à pied et les légères à cheval. Dans chaque batterie les calibres sont représentés par 1/3 et leur poids est dégressif en fonction de leur légèreté. Ainsi la batterie lourde était équipée de 4 pièces de 12, 4 pièces de 20 licorne et 4 de 6 (ou 12 court). La batterie à pied sera un cran en dessous et celle à cheval encore un cran en dessous.
Beaucoup de dégâts en perspective de toute façon. Je passe sur l’évolution des uniformes.

En matière de jeu, chaque artilleur représente un canon. Voici 2 1/2 batteries à pied encadrant une demi-batterie à cheval.

Du léger. 2 batteries cosaques. Les canonniers sont peu expérimentés et ils utilisent de petits calibre (6) souvent récupérés.
Pour ne pas laisser les artilleurs seuls, voila quelques officiers :

Un échantillon . On y retrouve des figurines Minifigs, des Olg Glory, des Naismiths, des AB, des Essex. J’ai même 4 Atamans des cosaques (Platov) dont un en chemise ouverte (Old Glory). Au centre Koutouzov rend compte au tsar Alexandre. On reconnait Bragratian, Dokhtorov, Barclay de Tolly, le grand duc Constantin ……..
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