Petite parenthèse figurinistique. Si on se penche un peu sur la genèse du seigneur des anneaux et surtout sur sa traduction par Jackson et ses deux trilogies (le seigneur des anneaux et Bilbo le hobbit) on rencontre dans les deux cas des « gobelins ». En premier les gobelins de la Moria puis ceux de Gobelinville qui leur sont antérieurs en fait. Commençons par ceux de Bilbo. Tous des dégénérés, des contrefaits pustuleux à la peaux grisâtre des habitants des gouffres sans lumière. Une consanguinité sous-jacente fait de ces petits monstres des cauchemars de foire aux plaisirs. Leurs équipements sont primitifs avec curieusement quelques outils de métal fort bien réalisés. De plus ils sont pratiquement à poils et idiots même si le rapport entre les deux n’est pas évident. De leur côté, les gobelins de la Moria sont des civilisés, des génies de la métallurgie avec un armement et des « armures » dignes de la renaissance. Ceux là vivent sous terre également mais ne sont pas albinos. L’évolution entre les deux périodes est fabuleuse, mais où est la parenté ? Je suppose qu’en dehors d’une ressemblance dans la tête, elle réside dans leur impossibilité de venir à bout d’une poignée de héros qui n’auraient pas ce nom s’ils avaient été tués dés le début et » lycée de Versailles » comme on disait au primaire !
Avant « les gobelins » n’avaient rien à voir avec la tapisserie … mais ça c’était avant !
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