Les nouveaux adeptes des « jeux d’histoire » ne connaissent pas leur bonheur ! Et Oui, avant c’était noir et blanc à de rares exceptions (les premiers Ospreys, quelques pages encartées dans des bulletins à thème type « les carnets de la sabre tache …), sinon rien. En fait pas vraiment, car dans les années 70/80 nous pouvions bénéficier des descriptions et dessins pointus de quelques fanas anglais. Je citerai Ian Heath’s, les Nigel Stillman et Tallis et le grand Phil Baker. Les dessins de ces précurseurs ont servi de modèles aux premières gravures à tel point que les figurines des premières marques sont la copie conformes des dessins surtout chez Minifigs.
Grace leur est rendue, les descriptifs évoquaient les couleurs, les ornements, les décorations des boucliers, etc, en fait tout ce dont nous avions besoin pour peindre nos armées (avec moins de variétés que de nos jours certes !).
Côté français, c’était plus les associations de figurinistes à forte connotation napoléonienne qui fournissaient de la documentation : les « carnets de la sabre tâche » mais aussi « le Briquet ». Puis vint Funcken bien sur !!
Dés la fin des années 80, Phil et moi nous étions abonnés à deux revues anglaises ; Miniatures Wargames d’abord puis Wargames Illustrated née d’un éclatement du premier. Je les possèdent toutes depuis le N° 1. Nous étions même membres de la » sociétés des anciens » et donc destinataires de son bulletin ‘slingshot » qui existe toujours d’ailleurs.
A noter que nos amis britanniques proposent bien 4 ou 5 revues mensuelles différentes.
Bon, la couleur était arrivée, d’abord avec quelques pages particulières (les 2 revues proposaient au début des photos encartées de format A3). Maintenant c’est une autre histoire.
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